Irrigation du côlon

Pour quoi ?

L’irrigation du côlon pourra améliorer certains des troubles et inconforts suivants :

  • Constipation/transit accéléré- ballonnements/ gaz
  • Présence de parasites
  • Migraine- troubles du sommeil/fatigue
  • Maux de dos- problème de peau- problèmes nez/gorge/oreille
  • Règles douloureuses- infections urinaires- allergies ou intolérances diverses
  • Avant et/ou après une anesthésie générale.
  • En soutien lors d’une nouvelle hygiène alimentaire.
  • En cas de cures de détoxication, diètes ou jeûnes.
  • Après un traitement d’Antibiotique.

Bienfaits

L’irrigation du côlon pourra vous apporter une sensation de légèreté et de détente avec un sommeil plus récupérateur, un ventre plus souple, un accroissement de la vitalité et un esprit plus clair, mais aussi:

  • Meilleure absorption des nutriments dans la dernière phase de la digestion
  • Renouvellement de la flore intestinale grâce à une évacuation douce et profonde des déchets de l’intestin qui sont à l’origine de flatulences, ballonnements, constipation

Un système nerveux en pleine forme!

Si présent dans l’intestin, le système nerveux autonome dit entérique soutient le fonctionnement de tous les processus digestifs. Il communique en permanence avec notre cerveau créant un transit « sous influence » du stress et de la joie, des tensions et de la détente, des contrariétés et de la satisfaction… L’irrigation du côlon optimise sa détente ou son dynamisme pour l’animation de notre vie organique et de nos humeurs. Elle prend tout son sens associée à une démarche pour gérer le stress et les émotions ou encore prendre en charge les facteurs de vie (situation professionnelle, amoureuse, familiale…) et les histoires individuelles (traumatismes passés, éducation, attachements…) qui peuvent constituer nos fragilités en tant qu’adultes.

Déroulement d’une séance

1h30 / 120 euros 

Lors de la séance un recueil d’informations aura lieu pour partager vos attentes, vos habitudes alimentaire, d’hygiène de vie, répondre à vos questions.

Ensuite je vous invite à vous installer sur le côté pour la pose de la canule. Elle est à usage unique. Cette démarche est inodore et indolore, vous êtes installé(e)s confortablement sur le dos durant toute la séance. L’irrigation commence et dure environ 45 min.
Il s’agit de plusieurs bains internes successifs, qui se passent tout en douceur grâce au petit débit d’eau filtrée par l’appareil,  qui contrôle la pression. Des massages enveloppants vous accompagnent tout le long du remplissage avec des exercices de respirations, relaxation.
Puis l’évacuation est alors nécessaire, accompagnée cette fois de massages plus stimulants des points réflexes pour aider à la libération du gros intestin.


Après la séance, on peut observer un sentiment de légèreté, de vide abdominal apaisant ou parfois un petit coup de fatigue.
Ce sont des réactions normales de l’organisme, variant selon le type de personnalité et/ou l’état d’encombrement du côlon.

Conseils alimentaires avant et après la séance

Avant une irrigation du côlon

Pour une plus grande efficacité, le gros intestin doit être correctement préparé 2 à 4 jours précèdent la séance.
Voici quelques astuces à suivre pour reposer ou éviter la surcharge de travail du système digestif :

  • Privilégier des cuissons simples (vapeur, papillote, étouffée, four)
  • Eviter les graisses cuites et saturées (fritures, beignets, ragoûts,
    pâtisserie)
  • Manger à heures régulières et supprimer les grignotages.
  • Modérer la quantité d’aliments, en apportant 50% de légumes cuits dans
    l’assiette et 50% de céréales semi-complètes ou complètes+ protéines
    (exception de la viande rouge qui constipe)
  • Réduire la quantité de pain (1 à 2 tranche par repas)
  • Supprimer le lait et les fromages odorants ou coulants (qui fermentent)
    au profit de fromage de brebis ou de chèvre.
  • Pour les personnes très ballonnées : pas de fruits ou de légumes crus la veille de la séance.
  • Éventuellement des cures préparatoires spécifiques :  (Facultatif)
  • Graines de lin broyées (1 càs dans une compote) ou psyllium blond en
    paillettes (1càs diluée dans un grand verre d’eau)
  • Probiotiques en cas de déséquilibre de la flore
  • Charbon actif, si beaucoup de ballonnements
  • Drainage foie vésicule
  • Une douche rectale ou petit lavement pour les personnes très
    constipées (la veille de la séance)
  • Mono diète de riz, de pomme, de raisin,…
  • Diète liquide, jus de légumes, jus de fruits, bouillons, soupe.

Après une irrigation du côlon buvez une boisson chaude avant le prochain repas
Le repas suivant :

  • prendre le temps d’une pause
  • Mastiquer
  • Reprendre les conseils alimentaire d’avant séance, en évitant les  céréales complètes (fermentent), les produits raffinées et diminuer les quantités de protéines animales
  • boire d’avantage(chaud c’est mieux)
  • Puis revenir progressivement à une alimentation normale en suivant les conseils établis avec le praticien ou en intégrant petit à petit de nouvelles habitudes alimentaires.

Éventuellement des cures spécifiques :

  • pro biotiques pour rééquilibrer la flore intestinale
  • exercices de respirations profondes
  • poursuite de la mono diète ou diète liquide
  • bains dérivatifs
  • Favoriser la qualité à la quantité (nourriture)

La fréquence

-Pour une démarche d’hygiène favorisant le maintien de la santé et de l’équilibre : 1 à 4 fois par an (notamment lors des changements de saison, période de stress, humeur dépressive, choc émotionnel, dérive alimentaire, retour de vacances, prise de poids, fatigue,…)

Dans certains cas, 3  séances rapprochées  (entre 2 à 8 semaines) pourront être envisagées, mes conseils seront adaptés à votre problématique à la fin de la première séance.  (ex: constipation, ballonnements, fatigue,…) 

Dans le cadre d’une cure de revitalisation ou d’un jeûne, l’irrigation est une pratique complémentaire fortement conseillée en début du jeûne pour éviter tout désagréments,comme les fringales, la fatigue, les ballonnements excessifs.

Prix/séance

PAS DE BANCONTACT SUR PLACE

Prix des séances: 120 euros.

*Merci d’annoncer 48 heures à l’avance toute annulation d’un rendez-vous, ce qui rend disponible la plage horaire pour une personne en attente. Si non la séance sera due, sauf cas de force majeure.

Les disponibilités pour un rendez-vous varié entre 4 à 12 semaines en fonction de vos possibilités.

 Pourquoi est-ce que mon ventre gonfle?

Un ventre qui gonfle, c’est un ventre qui ne respire pas, c’est à dire un ventre qui ne parvient pas à faire circuler correctement les matières, les liquides, les émotions et les déchets, qu’il contient.

Un ventre qui gonfle, c’est aussi un bidon qui s’exprime, qui élève sa voix et qui nous indique que l’on ne l’écoute pas assez, qui se révolte et qui demande de l’attention.

Les liquides : ce sont les humeurs d’Hippocrate, c’est à dire notre sang, notre lymphe, mais aussi tout ce que nous sécrétons, comme notre bile, nos sucs gastriques, biliaires et pancréatiques (…).

Les matières : ce sont nos viscères, nos tissus et nos (bonnes ou mauvaises) graisses.

Les déchets accumulés : ils viennent s’entasser au coeur de nos organes digestifs, de leur(s) tissu(s), et congestionnent, font surchauffer la machine, en bref la rendent poreuse, c’est à dire perméable à l’intrusion de polluants qui sont d’origine exogène (schématiquement ce sont les toxiques* issus de notre hygiène de vie et qui viennent de l’extérieur) ou endogène (ce sont les toxines qui proviennent de notre métabolisme, qu’elles soient digestives, cellulaires (etc…) et qui sont produites à l’intérieur de l’organisme).

En jouant sur notre potentiel de membrane (perméabilité intestinale) ou sur l’inaction du chef d’orchestre (le foie) de nos émonctoires (organes d’élimination), Ces déchets viennent nous polluer en passant de la lumière digestive (intérieur des conduits de la bouche à l’anus) à notre milieu interne (nos humeurs et nos tissus).

Tout ceci prédispose notre organisme à une congestion de ses organes émonctoires et à une sur-saturation de nos humeurs qui en découle. Tout cela va venir fatiguer notre système qui n’aura plus la force d’éliminer correctement les déchets quotidiens qu’il doit traiter. Ce phénomène prédispose en partie à un autre : l’inflammation !

  • L’inflammation dans la congestion, clef de voûte des perturbations digestives ?

Notre ventre s’exprime et gonfle quand il est dans un état d’inflammation qui symptomatise sa congestion*. Cela veut dire que nos tissus réagissent de manière forte suite à une “irritation” qui, soit, provient de :

1. l’extérieur par des pollutions (eau, air, nourriture), ou des énervations de notre système par nos émotions.

2. l’intérieur de notre corps par nos congestions qui favorisent la survenue de déchets non éliminés qui viennent irriter les tissus .

Cette inflammation est, dans tous les cas, possible qu’à partir du stade de la congestion, c’est à dire du ralentissement du fonctionnement de nos organes digestifs qui se trouvent encombrés par des déchets physiques (mais aussi émotionnels) qu’ils n’arrivent plus à éliminer correctement et qui s’accumulent, stagnent et bloquent leur activité.

  • Quels sont ces déchets ?

-> Nous avons les déchets que nous accumulons dans la tuyauterie, c’est à dire dans la lumière de notre sphère digestive, ce que nous appelons simplement la plaque mucoïde (comprenez ici des selles mélangés avec du mucus séché).

-> Également, nous avons les boues du foie qui sont des résidus stagnants de bile, dans les canaux et la sphère hépatique, qui se sont solidifiés à la suite d’une congestion empêchant la bile de tomber correctement dans son lieu de précipitation naturelle : la vésicule biliaire !

Ils sont de couleur rosâtre et ont la texture d’une boue malodorante !

-> Nous avons également les lithiases (calculs biliaires ou intra-hépatiques), et enfin les mucosités stagnantes au niveau des canaux lymphatiques, qui viennent congestionner le système cellulaire et qui entraînent un état de constipation liquidienne, première constipation de l’organisme qui enclenche les autres.

À tous ces déchets, nous pouvons y accoler des émotions bloquées que nous n’avons jamais exprimé et qui stagnent en nous, sous forme de vibration (désolé je fais un peu l’holistique là) et qui impactent notre énergie et la bonne marche de notre corps, nous rappelant par la même occasion la nécessité de les transmuter, guérir, afin de pouvoir continuer à vivre normalement ! Je le répéterai jamais assez : les maux du corps restent les mots de l’âme et ce qui ne s’exprime pas s’imprime et finit toujours par se manifester au niveau du corps physique !

En outre, nos émotions, dans un contexte amenant notre organisme au stress, viennent impacter son fonctionnement normal, entrainant la création des déchets énumérés plus haut !

1/ Nos émotions

Nous imaginons souvent peu, ou pas du tout, les effets qu’ont nos émotions sur notre santé. Elles sont pourtant capitales et jouent le rôle d’acteurs de notre fonctionnement interne ! Nos émotions gouvernent nos sens, impactent notre activité nerveuse et viennent se loger ici ou là, déclencher des phénomènes qui vont avoir telle(s) ou telle(s) conséquences sur notre organisme et sa physiologie !
Si elles puisent leur origine dans un sentiment de peur, d’angoisse, ou toutes énergies négatives, elles vont induire un stress assez important pour infléchir l’équilibre de notre système nerveux autonome ! C’est à dire que nous passons en mode orthosympathique (stress) qui dévalorise notre branche nerveuse parasympathique (qui permet la bonne marche de notre métabolisme et de notre physiologie), en faveur de réaction(s) de survie !

Notre parasympathique correspond à notre nerf vague qui innerve notre système digestif, qui permet la bonne ouverture de ses cardias (pylores, sphincters…). Il favorise les bonnes sécrétions de nos glandes et organes digestifs (très importantes pour la digestion) !

Si notre organisme est paralysé par un étatique sentiment de stress conscient, inconscient ou subconscient, toute la bonne marche digestive est considérablement impactée ! Les cardias s’ouvrent moins bien, les sécrétions sont moins importantes, le sang circule plus difficilement dans le système… Bref c’est l’état de la co-stipare (constipation) digestive qui est facteur de fermentation d’un bol alimentaire stagnant. Cela va favoriser, d’une part, l’irritation de la muqueuse digestive et entraîne la surproduction du mucus protecteur de la paroi, et d’autre part l’apparition de gaz (qui font gonfler le ventre), directement liée à l’état de fermentation des aliments qui se transforment en alcool.

sources; www.justenaturo.com